Dense et agité, un poil inquiétant
Some say I so I say light de Ghostpoet

Some say I so I say light / Ghostpoet
Obaro Ejimive (de son vrai nom) ne se revendique d’aucun genre. Et pourtant différentes critiques voient en sa musique bien plus que de la soul anglaise. On rapproche son album de la newwave mancunienne, du trip hop bristolien ou encore du dubstep londonien.
Ce fils d’immigré nigérian a comme référence musicale africaine Fela Kuti pour le mouvement perpétuel de sa musique.
OUF!!! enfin un nom connu !
Mon collègue Gaël m’a prêté cet opus pour que je découvre cet artiste. Dans un premier temps, je n’ai pas du tout adhéré.
Cet album est peut-être trop expérimental, underground. Sans me déplaire réellement, il me laisse perplexe!!!
A vous de me donner votre avis